Selon le syndicat allemand Ver.di et l’organisation syndicale internationale UNI Global Union, Deutsche Telecom ne respecterait pas les droits de ses salariés hors d’Allemagne. Une enquête a été réalisée auprès de 1 800 employés, directs ou indirects, de Deutsche Telecom dans sept pays où le groupe est présent (Etats-Unis, Croatie, Roumanie, etc.), enquête qui révèle qu’un grand nombre de salariés affirment qu’ils ont été victimes ou témoins de comportements agressifs au travail et que 93 % d’entre eux déclarent être victimes de harcèlement, de menaces ou d’humiliations. Le groupe est appelé à engager un dialogue avec UNI Global Union, afin de conclure un accord garantissant le respect des droits des travailleurs partout dans le monde.