À la suite du coup d’État en Birmanie, la société Facebook a déclaré, le 11 février, qu’elle allait fortement réduire tout contenu sur les pages et les profils gérés par l’armée birmane. La société a également suspendu, pour une durée illimitée, la possibilité réservée aux fonctionnaires des agences gouvernementales birmanes d’utiliser les canaux spéciaux pour supprimer du contenu.