Si les émissions de GES ont ralenti durant les périodes de confinement et de ralentissement de l’activité économique, elles repartent à la hausse. Et surtout, cette parenthèse a eu un impact très limité sur les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, qui se situent à des niveaux records et continuent à augmenter en raison de la très longue durée de vie du CO2. C’est ce que révèle le rapport United in Science 2020 coordonné par l’Organisation météorologique mondiale (OMM).