Les standards de la RSPO, censés garantir une huile de palme durable, sont de plus en plus contestés et ce ne sont pas les nouvelles lignes directrices volontaires RSPO+ qui ont rassuré les ONG (voir Impact Entreprises n° 216). En début de mois, c’est une centaine de grandes entreprises, investisseurs et sociétés de gestion qui ont écrit au secrétaire général de la RSPO pour lui demander de renforcer les exigences et la qualité des contrôles de la RSPO, afin de rétablir sa crédibilité et de protéger la réputation des sociétés qui utilisent les certificats délivrés.