Google n’est visiblement plus l’entreprise technologique où il fait bon travailler. Le 2 décembre dernier, le National Labor Relations Board (NLRB), l’agence américaine chargée d’enquêter sur les pratiques illégales dans le monde du travail, a déposé une plainte à l’encontre de l’entreprise. Le NLRB estime que la société a violé les lois du travail américaines en espionnant les salariés qui organisaient des manifestations d’employés à la suite de la multiplication des plaintes pour harcèlement sexuel, puis en licenciant deux d’entre eux fin 2019.