Un rapport du Parlement français présenté le 22 juin préconise la révision de certaines taxes sur les produits alimentaires, notamment de la taxe sur les boissons sucrées, afin de compenser les pertes de recettes liées à la suppression des petites taxes et à l’harmonisation de la TVA sur les produits agroalimentaires. De son côté, le ministère des Finances sud-africain a proposé, le 8 juillet, qu’une taxe de l’ordre de 20 % pour les boissons sucrées les plus populaires soit applicable à partir du 1er avril 2017. Une mesure qui permet au gouvernement de lutter contre l’obésité, mais ne plaît pas aux professionnels du secteur (voir Impact Entreprises n° 235).