Très critiquée pour ses pratiques d’optimisation fiscale, comme bon nombre de sociétés de la nouvelle économie, Google a versé en 2013 l’équivalent de 565 millions d’euros en impôt sur les sociétés sur ses bénéfices réalisés hors des Etats-Unis. Le taux de l’impôt rapporté au bénéfice réalisé a ainsi doublé par rapport à l’année précédente pour atteindre… 8,9 %. Un début ? Reste que le taux réalisé par Google sur son marché domestique s’élève, lui, à 33,7 %.