A la suite d’une enquête sur un trafic de chevaux sortant de programmes pharmaceutiques et retrouvés dans la chaîne alimentaire en France, trafic découvert à la mi-décembre 2013, Sanofi Pasteur a déclaré qu’il se considérait comme victime et annoncé sa volonté de prendre des mesures juridiques. L’entreprise fait valoir d’une part, qu’il y a eu rupture de l’engagement contractuel conclu lors de la vente des animaux utilisés au préalable pour la fabrication de sérums (ce qui en interdit l’usage alimentaire) et d’autre part, que cette affaire porte atteinte à la réputation du groupe.