Le 3 juin 1998, lors de l’assemblée générale de PSA, Jean-Martin Folz, le président du groupe de l’époque, déclarait que concernant le diesel, « la conviction de PSA [était] partagée dans le monde entier […] et le moteur diesel [était] la seule réponse valable pour répondre à l’esprit de Kyoto sans rouler tous à bicyclette ». Vingt ans plus tard, l’histoire ne lui a pas donné raison et le diesel se retrouve à nouveau devant les prétoires entérinant la fin d’une époque… Et d’une illusion. Depuis, le nombre de sujets ayant investi la sphère des affaires s’est considérablement élargi et cela touche tous les secteurs d’activité. Nous en abordons plusieurs dans cette lettre : BTP et forêts urbaines, agroalimentaire et trafic de main-d’œuvre, nucléaire et climat, tourisme et peuples indigènes, nouvelles technologies et syndicalisme…