Selon Larry Fink, le président de BlackRock, le dialogue actionnarial est plus efficace que l’activisme actionnarial offensif. En fait, la question ne se pose sans doute pas. Aujourd’hui, les acteurs sont multiples et chacun joue son rôle en fonction de ses spécificités, éclairant les messages et les intentions des autres acteurs. Par ailleurs, que l’on se place sur le terrain de la finance ou sur celui des affaires, tout est une question de timing : faut-il suivre le mouvement de transition environnementale, sociale ou humaine qu’on est en train de vivre, faut-il l’accompagner, l’anticiper ou l’accélérer ? Il y a fort à parier que c’est l’articulation entre ces différentes positions qui crée la dynamique.