A la suite des terribles incendies survenus à la fin de l’an dernier dans des ateliers de confection au Bangladesh (voir Impact Entreprises n° 160 et n° 163), de nombreux acteurs (ministres bangladais, syndicats, représentants de grandes marques, ONG, associations d’employeurs…) se sont réunis au début du mois de février à Dacca pour étudier les termes d’un plan d’action visant à éviter que de tels drames se reproduisent dans l’avenir. Les protagonistes ont convenu que des progrès devaient être réalisés sur les points suivants : loi sur le travail (une révision a du reste été engagée par le gouvernement bangladais), syndicalisation des travailleurs, augmentation du salaire minimum (il est actuellement de 3 000 takas par mois, soit 29 euros environ), collaboration entre tous les protagonistes…