Dans le n° 164 d’Impact Entreprises daté du 6 février 2013, nous indiquions que, selon une étude des organisations IKV Pax Christi (Pays-Bas) et FairFin (Belgique) datant de juin 2012, la Société générale “ aurait encore des relations financières avec une entreprise fabriquant des bombes à sous-munitions ou des composants clés ”. La direction de l’entreprise a tenu à préciser que la Société générale avait “ cessé ses activités avec les sociétés mentionnées dans le rapport ”. Le principal grief à l’encontre de l’entreprise était la détention, via sa filiale TCW, de 1,76 % du capital de la firme américaine Textron, accusée par le rapport de fabriquer des armes à sous-munitions. Or, la Société générale a finalisé le 6 février 2013 la cession de sa participation dans TCW, qu’elle avait annoncée le 9 août 2012, et ne possède donc plus de participation dans Textron.